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Titre : Tiens, ils ont repeint ! : 50 ans d’aphorismes urbains de 1968 à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Pagès, Auteur ; Philippe Bretelle, Auteur Editeur : Paris [F] : Zones / La Découverte Année de publication : 2017 Importance : 300 p. Format : 18cm x 25cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9731-3 Prix : 21 € Langues : Français (fre) Catégories : Concept:Penser / Concept:Penser:Détourner / Concept:Penser:Manifester / Concept:Penser:Prendre position Tags : slogans Manifestation révolte humour Note de contenu : Cinquante ans d’aphorismes urbains : une collecte exceptionnelle de bombages de façades du monde entier par autant de factions séditieuses que d’enragés d’un soir. L’écriture sur les murs, du pinceau à la bombe aérosol, recèle des trésors d’histoire et des bijoux humoristiques. En 1975, à Trieste, on pouvait lire avant effacement : « Care donne, obbedire non è più una virtù » (« Mesdames, l’obéissance n’est plus une vertu ») ; et à Quito (Équateur), à la veille de 2012 : « Ni puta ni princesa, solo mujer » (« Ni pute ni princesse, femme »). D’autres font appel à la nostalgie, comme ceux découverts à Paris en 2011, « Trotski tue le ski ». Comment ne pas éclater de rire avec « Que Bergson ne bouge », en 1972 dans le lycée du même nom, ou « Nique ton père, ça changera » ? Les murs sont les dépôts des jeux de mots les plus osés. Yves Pagès, écrivain, éditeur, les photographie et les recense avec l’aide de graffitologues, amateurs éperdus de ces traces de paroles qui s’autorisent à dégrader le silence des murs. Comme il était écrit à Marseille : « Les murs morts murmurent ». Ailleurs, sous un « DÉFENSE » en majuscules, cette réponse : « Moi, je m’en fiche », comme dirait Zazie. La poésie résiste dans nos rues. En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2018/08/GOBY/59004 Permalink : http://www.noccan.org/cla/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4547 Tiens, ils ont repeint ! : 50 ans d’aphorismes urbains de 1968 à nos jours [texte imprimé] / Yves Pagès, Auteur ; Philippe Bretelle, Auteur . - Paris [F] : Zones / La Découverte, 2017 . - 300 p. ; 18cm x 25cm.
ISBN : 978-2-7071-9731-3 : 21 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Concept:Penser / Concept:Penser:Détourner / Concept:Penser:Manifester / Concept:Penser:Prendre position Tags : slogans Manifestation révolte humour Note de contenu : Cinquante ans d’aphorismes urbains : une collecte exceptionnelle de bombages de façades du monde entier par autant de factions séditieuses que d’enragés d’un soir. L’écriture sur les murs, du pinceau à la bombe aérosol, recèle des trésors d’histoire et des bijoux humoristiques. En 1975, à Trieste, on pouvait lire avant effacement : « Care donne, obbedire non è più una virtù » (« Mesdames, l’obéissance n’est plus une vertu ») ; et à Quito (Équateur), à la veille de 2012 : « Ni puta ni princesa, solo mujer » (« Ni pute ni princesse, femme »). D’autres font appel à la nostalgie, comme ceux découverts à Paris en 2011, « Trotski tue le ski ». Comment ne pas éclater de rire avec « Que Bergson ne bouge », en 1972 dans le lycée du même nom, ou « Nique ton père, ça changera » ? Les murs sont les dépôts des jeux de mots les plus osés. Yves Pagès, écrivain, éditeur, les photographie et les recense avec l’aide de graffitologues, amateurs éperdus de ces traces de paroles qui s’autorisent à dégrader le silence des murs. Comme il était écrit à Marseille : « Les murs morts murmurent ». Ailleurs, sous un « DÉFENSE » en majuscules, cette réponse : « Moi, je m’en fiche », comme dirait Zazie. La poésie résiste dans nos rues. En ligne : https://www.monde-diplomatique.fr/2018/08/GOBY/59004 Permalink : http://www.noccan.org/cla/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4547 Réservation
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