Titre : |
Jungles |
Titre original : |
Abris de fortune aux abords de la Manche |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean Revillard, Photographe |
Editeur : |
Genève [CH] : Labor et Fides |
Année de publication : |
2009 |
Prix : |
23 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Concept:Conserver:Inventaire / Concept:Regarder / Forme:Technique:Photo
|
Tags : |
immigration clandestine cabanes |
Résumé : |
Les jungles de Calais sont des bouts de territoires disséminés dans les forêts et dans les terrains vagues qui lèchent les parkings de camions en attente, eux aussi, de passer à la douane. C'est dans les cabanes de ces jungles que le migrant se terre. On les appelle jungles parce que la végétation y est dense, broussailleuse. Et parce que dans la jungle, on se cache, on se bat et on y meurt parfois. |
Note de contenu : |
«Il arrive que l’art apporte une contribution forte à la contestation. (…) C’est pour dénoncer les conditions de vie qui leur sont imposées que Jean Revillard photographie depuis plusieurs années ces gîtes de fortunes érigés par tous ces clandestins.»
CFDT Magazine, juillet-août 2009
«On dirait qu’un bidonville a volé en éclats dans les forêts du nord de la France. (…) Ce sont de petites cabanes montées à la va-vite à l’aide de toiles, de draps et de branchage. Elles apparaissent sous le flash telles des oeuvres d’art, à la limite du land art. Les images témoignent de la misère dans laquelle survivent les sans-papiers. (…) sur la route migratoire, Calais est un cul-de-sac.»
Le Courrier / La Liberté, 16 juin 2009
«Des bouts de plastique, de bâche, de carton, des couvertures… (L’auteur) a occulté toute présence humaine et privilégié la mise en scène, à coups d’éclairages crus. Au risque de trop d’esthétisme. L’auteur préfère parler de dimension cinématographique: “J’ai voulu placer le rêve des migrants en porte-à-faux avec les robinsonnades de notre enfance”.»
Liaisons Sociales, juin 2009
«Pendant un an et demi, (Jean Revillard) a répertorié ainsi plus de soixante de ces cabanes, de ces concentrés de misère dressant la triste liste de ces mondes parallèles.»
La Croix, 25/26 avril 2009
«Regardez ces cabanes, ces abris de fortune bricolés dans les sous-bois décharnés près du port de Calais. (…) Jean Revillard est arrivé un soir de janvier 2007 au milieu de la jungle. Il neigeait et il a photographié en pleine nuit un premier abri. (…) Jean Revillard a obtenu le premier prix du World Press Photo Award 2008 pour ce travail.»
Libération, 24 avril 2009
«Les migrants séjournent dans des cabanes de fortune, construites de bric et de broc, paraboles de la misère dans laquelle sont plongés ces candidats à une vie décente.(…) Les quarante-huit scènes de résidence dans les jungles de Calais sont suivies par le journal du photographe, propos mêlés d’un professionnel au travail et d’un révolté.»
Réforme, 26 mars 2009
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En ligne : |
http://www.labor-et-fides.com/?p=718 |
Permalink : |
http://www.noccan.org/cla/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=971 |
Jungles = Abris de fortune aux abords de la Manche [texte imprimé] / Jean Revillard, Photographe . - Genève [CH] : Labor et Fides, 2009. 23 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Concept:Conserver:Inventaire / Concept:Regarder / Forme:Technique:Photo
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Tags : |
immigration clandestine cabanes |
Résumé : |
Les jungles de Calais sont des bouts de territoires disséminés dans les forêts et dans les terrains vagues qui lèchent les parkings de camions en attente, eux aussi, de passer à la douane. C'est dans les cabanes de ces jungles que le migrant se terre. On les appelle jungles parce que la végétation y est dense, broussailleuse. Et parce que dans la jungle, on se cache, on se bat et on y meurt parfois. |
Note de contenu : |
«Il arrive que l’art apporte une contribution forte à la contestation. (…) C’est pour dénoncer les conditions de vie qui leur sont imposées que Jean Revillard photographie depuis plusieurs années ces gîtes de fortunes érigés par tous ces clandestins.»
CFDT Magazine, juillet-août 2009
«On dirait qu’un bidonville a volé en éclats dans les forêts du nord de la France. (…) Ce sont de petites cabanes montées à la va-vite à l’aide de toiles, de draps et de branchage. Elles apparaissent sous le flash telles des oeuvres d’art, à la limite du land art. Les images témoignent de la misère dans laquelle survivent les sans-papiers. (…) sur la route migratoire, Calais est un cul-de-sac.»
Le Courrier / La Liberté, 16 juin 2009
«Des bouts de plastique, de bâche, de carton, des couvertures… (L’auteur) a occulté toute présence humaine et privilégié la mise en scène, à coups d’éclairages crus. Au risque de trop d’esthétisme. L’auteur préfère parler de dimension cinématographique: “J’ai voulu placer le rêve des migrants en porte-à-faux avec les robinsonnades de notre enfance”.»
Liaisons Sociales, juin 2009
«Pendant un an et demi, (Jean Revillard) a répertorié ainsi plus de soixante de ces cabanes, de ces concentrés de misère dressant la triste liste de ces mondes parallèles.»
La Croix, 25/26 avril 2009
«Regardez ces cabanes, ces abris de fortune bricolés dans les sous-bois décharnés près du port de Calais. (…) Jean Revillard est arrivé un soir de janvier 2007 au milieu de la jungle. Il neigeait et il a photographié en pleine nuit un premier abri. (…) Jean Revillard a obtenu le premier prix du World Press Photo Award 2008 pour ce travail.»
Libération, 24 avril 2009
«Les migrants séjournent dans des cabanes de fortune, construites de bric et de broc, paraboles de la misère dans laquelle sont plongés ces candidats à une vie décente.(…) Les quarante-huit scènes de résidence dans les jungles de Calais sont suivies par le journal du photographe, propos mêlés d’un professionnel au travail et d’un révolté.»
Réforme, 26 mars 2009
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En ligne : |
http://www.labor-et-fides.com/?p=718 |
Permalink : |
http://www.noccan.org/cla/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=971 |
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