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Auteur Oliver Chanarin |
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Titre : War Primer 2 [paperback] Type de document : texte imprimé Auteurs : Adam Broomberg Broomberg, Auteur ; Oliver Chanarin, Auteur Editeur : SE4 2FL [GB] : Mack Année de publication : 2017 Importance : 200 p. Présentation : ill. en coul. photographie Format : 25 x 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-1-912339-14-3 Prix : 30 € Note générale : Initialement publié en 2011 sous forme de livre à édition limitée, cette édition est un fac-similé du livre qui a valu à Adam Broomberg et Oliver Chanarin le prix 2013 du Deutsche Börse Photography Prize. War Primer 2 se base sur la première version en langue anglaise du remarquable Kriegsfibel de Bertolt Brecht de 1955, dans laquelle Brecht combinait des photographies de presse des Guerres mondiales avec des poèmes de quatre lignes. Compilé par intermittence pendant trois décennies, le livre de Brecht était une attaque visuelle et lyrique contre la guerre et ses propagandistes sous le capitalisme moderne. Broomberg et Chanarin superposent de manière stratégique les pages de Brecht’s War Primer avec des images tirées d’Internet et générées par les acteurs, les propagateurs et les reporters du conflit contemporain.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.
Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.
Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.
Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Langues : Français (fre) En ligne : https://mackbooks.co.uk/ Permalink : http://www.noccan.org/cla/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4549 War Primer 2 [paperback] [texte imprimé] / Adam Broomberg Broomberg, Auteur ; Oliver Chanarin, Auteur . - SE4 2FL [GB] : Mack, 2017 . - 200 p. : ill. en coul. photographie ; 25 x 30 cm.
ISBN : 978-1-912339-14-3 : 30 €
Initialement publié en 2011 sous forme de livre à édition limitée, cette édition est un fac-similé du livre qui a valu à Adam Broomberg et Oliver Chanarin le prix 2013 du Deutsche Börse Photography Prize. War Primer 2 se base sur la première version en langue anglaise du remarquable Kriegsfibel de Bertolt Brecht de 1955, dans laquelle Brecht combinait des photographies de presse des Guerres mondiales avec des poèmes de quatre lignes. Compilé par intermittence pendant trois décennies, le livre de Brecht était une attaque visuelle et lyrique contre la guerre et ses propagandistes sous le capitalisme moderne. Broomberg et Chanarin superposent de manière stratégique les pages de Brecht’s War Primer avec des images tirées d’Internet et générées par les acteurs, les propagateurs et les reporters du conflit contemporain.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.
Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.
Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.
Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.Cette jonction de deux histoires visuelles est sous-jacente à un profond scepticisme vis-à-vis des images de masse. War Primer a notamment attiré l’attention sur le rôle didactique du photojournalisme au service des profiteurs sans pitié de la guerre. Le titre rappelait délibérément les manuels utilisés pour apprendre à lire aux enfants du primaire, et le livre, qui utilisait des mots précis pour démanteler les messages visuels, servait de manuel, expliquant comment «lire» ou «traduire» des photographies de presse - images que Brecht a qualifié de hiéroglyphes nécessitant un décodage.Dans War Primer 2, les poèmes épineux de Brecht et son choix d'images du XXe siècle - villes et champs de bataille bombardés, Hitler et ses hommes de main, ainsi que soldats et réfugiés blessés - prennent de nouvelles implications lorsqu'ils sont juxtaposés avec des images numériques et des captures d'écran. des attaques des tours jumelles, la torture à la prison d'Abou Ghraib, l'exécution de Saddam Hussein et George W. Bush offrant fièrement une Turquie pour le jour de Thanksgiving. Lorsque le livre d'artiste a été publié pour la première fois, il soulevait des questions pertinentes concernant l'actualité historique, politique et sociale des images de masse générées par les conflits. À l’ère des «fausses nouvelles», War Primer 2 explore le pouvoir des images non seulement pour raconter, mais aussi pour créer une histoire.
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